3 août 2009
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Terminer sur un joli sourire, celui que réserve la plupart des Laotiens. Sourire qui nous calme, qui souligne l'essentiel,sourire pour lequel on franchit 10000km et par lequel
on va communiquer, sans intervention du langage.De la sincérité au bord des lèvres...
Ce n'est pas un voyage d'exception, les rizières n'y sont pas plus vertes qu'ailleurs, ni les temples plus beaux; Mais c'est une destination touchante, aux rencontres chaleureuses, à la vie paisible. Et n'est-ce pas ça le voyage: engrenger des images et des émotions, découvrir, observer, comprendre, se perdre et se retrouver ....
Published by yveline jacquemart
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Laos
3 août 2009
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Tellement d'amour autour des enfants! Avons été étonnés par l'attention de tous les instants des parents par rapport à eux. Les mères les portent en permanence, les pères jouent beaucoup.Et les chérubins ne sont pour autant ni capricieux ni despotes
. Au contraire!
Cette petite fille de 4 ans lave son linge seule dans l'eau de la rivière. Dès qu'ils savent marcher, les enfants escaladent les echelles de la case sur pilotis sans surveillance.Ils manient d'énormes couteaux qu'ils utilisent pour décortiquer des fruits secs; Ils n'ont pas la même approche angoissée que nous de l'éducation et du coup avoir des enfants ne les entrave pas. Un vrai régal à observer!
Published by yveline jacquemart
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3 août 2009
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10:26
Les trajets en bus, même si c'est du 30km/h dans un décor cra-cra, permettent de découvrir des tranches de vie des autochtones.
Et les enfants sont rudement sages et respectueux envers les adultes.
Une petite envie de cafards grillés?
Montez dans le bus et attendez la prochaine halte, elle ne saurait tarder..une nuée de marchandes viendra vous proposer tout un tas d'en cas plus ou moins appétissants. Nous n'avons pas eu le courage d'y goûter!
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3 août 2009
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Dans un village animiste des Bolovens, ils fabriquent leurs cercueils de leur vivant, qu'ils entreposent ensuite sous les greniers à riz. Une façon d'apprivoiser la mort....
Nickou devrait se faire couper en 2 pour pou
voir y rentrer...
Fillette dans les Bolovens. Les enfants sont beaucoup plus discrets que dans le nord et ne nous sollicitent pas. Mais un"sabaïdi" ( bonjour) bien lancé suffit à leur rendre le sourire
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2 août 2009
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Technique de pêche sportive où l 'enfant doit se jeter dans le courant violent du Mékong pour rejoindre une immense nasse en bambous qui collecte les poissons.
S'il rate son but, il est emporté par le courant et ciao bonsoir!
Dernier regard sur Done Khone où l'on aurait bien trainé un jour de plus si le scolopendre n'avait pas fait des siennes...
Mais pas de regret, c'était encore la pluie qui allait nous accompagner...
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Le Mékong près de la frontière cambodgienne.
Il fait jusqu'à 14km de large. Pendant la saison des pluies, il est toujours couleur chocolat et charie des tonnes d'arbres après chaque pluie. Et c'est en slalomant que les pirogues naviguent pour les éviter. Beaucoup d'îles sont immergées en juillet et on devine leur emplacement par la présence de branches qui affleurent à la surface et qui sont le sommet des arbres immergés.
Quel drôle d'endroit! Un pont datant de la colonisation et ces cases en bambous.
La navigation sur le Mékong à cet endroit est entravée par la présence de rapides.Les Français ont bati cette voie férrée pour acheminer les marchandises entre le Cambodge et le Nord du Laos et shunter ces zones dangereuses
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Bas relief du Vat Phou. Les parties les mieux conservées font vraiment penser à Angkor. Mais l'état général du site est assez délébré.
Le point fort: le panorama sur la plaine depuis le plateau le plus haut.
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